Commerces

Une rue bien nommée…

 

La rue du commerce porte bien son nom puisqu’elle ne comptait pas moins de 8 commerces au début du vingtième siècle : fromagerie, épicerie, sabotier, primeur, marchand de vin, meunier et recette buraliste.

Il faut souligner également que d’autres activités étaient présentes sur la commune. Une boulangerie (située à l’emplacement de l’actuelle), un deuxième marchand de vin, une boucherie, un garagiste avec pompes à essence, une couturière et un maréchal ferrant qui donnait le rythme au son de l’enclume. Quelques artisans étaient également présents pour débarder le bois, réparer les toitures, et remplacer les carreaux cassés. Enfin, on pouvait même se procurer des produits vétérinaires de première nécessité. En conclusion, Gonsans possédait son propre réseau de commerce de proximité.

 

.par rapport à aujourd’hui

 

Cette rue a beaucoup changé puisque tous les commerces ont aujourd’hui disparu.

L’évolution de la société, depuis cette époque, a eu raison de ces comerces. Les contraintes réglementaires (législation, mesure d’hygiène, etc…), l’arrivée des grandes surfaces ont découragé les repreneurs potentiels de l’époque entrainant la fermeture de ces petits commerces.

 

Anecdote –

 

Pendant longtemps, seuls les commerçants avaient le téléphone. Pour téléphoner, les villageois devaient se rendre à la cabine téléphonique. Les appels n’étaient que pour contacter un vétérinaire ou un médecin (dans cet ordre de priorité).

D’autre part, le village ne comptait que très peu de voitures et camions. Elles appartenaient essentiellement à des commerçants itinérants : le boulanger, le boucher, le marchand de vin et, plus surprenant, le curé dès 1939.

 

Jeu :

 

 Commerce ambulant?

 

 

 

 

 

(sous le clapet):
Itinérant = I

 

 

 

 

 

 

(sous le clapet):
Commerces 7 = M